Dans un monde en constante évolution, de nombreux facteurs environnementaux peuvent impacter le bon fonctionnement des entreprises ou des organisations.
Asymétrie de l’information, tensions sociales, changements organisationnels etc....
Face à ces nombreuses sources de fragilités, les structures doivent plus que jamais replacer la qualité de vie au travail au cœur de leur fonctionnement afin de maintenir leur performance.
La trentaine de participants inscrits montre l’intérêt pour cette thématique développée le jeudi 13 octobre dernier.
Cet atelier a permis de mettre en lumière les principales origines des difficultés auxquelles peuvent être confrontées les entreprises et d’analyser l’impact que celles-ci peuvent avoir sur l’organisation, la performance et la qualité de vie au travail.
Cette approche a permis de faire ressortir l’enjeu de revaloriser les dimensions subjectives et collectives du travail notamment en période de crise ou la dimension objective a tendance à être la seule préoccupation des managers.
La mobilisation des compétences en interne, la mobilisation des intelligences, l’anticipation sont d’autant de leviers disponibles auxquels peuvent avoir recours les entreprises. Dans ces contextes instables, les organisations doivent faire preuve d’agilité et être capables d’entrevoir les impacts et les transformations possibles du travail.
Une occasion pour augmenter la prise de conscience et l’imbrication des enjeux de la QVT en termes d’amélioration de l’emploi, de bien-être et de performance de l'entreprise en contexte de fragilité.